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L'amitié homme-femme existe t'elle? me demandais un froid matin d'été (pouf pouf, ya plus de saison) donc un froid matin d'été disais-je avant d'être coupé abruptement par un génie de circonstance (qui s'appelait comme ca car c'était un noble du marais)

Donc je disais que cette homme, voir même ce pittoresque bout d'humain a moitié homme et a moitié Homme, m'abordait pour me poser cette question, dans le quartier de  Sir Constance justement!

La peur tout d'abord me glaça, a moins que ce soit le froid matin d'été sus-dit (comme le disais si bien la baronne ou encore DSK). Puis  enfin je me posais cette questions existentielle et mon sang ne fit qu'un tour, puis ensuite je ne fis qu'un tour puis la terre ne fit qu'un tour, il y eu un soir il y eu un  matin, ce fut le... eh bien ce fut le jour bande d'andouille ignares que vous etes!

Puis je me reposais, et me reposais cette question, une foi, deux foi, trois fois! adjugé vendu! trop de fois tu la foi et trop d'alcool aussi!

Donc après mur réflexion, comme le dise les chauffard, je me suis dit stop!

Un monde ou l'homme converti en moine ne pourrait pas entretenir une femme, pouf pouf, je voulais dire une discussion avec une femme, serait un monde ou les canard serait privé de skate board, et ou les taureau porteraient des cornes de gazelles juste pour etre mieux mangé!

Réflexions faite, le jour ou vous verrais un homme manger une corne de gazelle sur une bête a corne (qui ne sera pas votre marie je l'espère) vous aurez la grâce de m'appeler ou d'envoyer COCU au 61313 (1.35€ le sms, 52 sms maxi!)

Plus tard dans la soirée je discute avec une personne de la gente féminine. Je ne parle évidemment pas de celles qui ont un décolleté plongeant, vous comprenez j'ai tout de même mes fréquentation; je parle seulement de femmes avec des superbe paire de lolos!

Donc alors que nous discutions tout les 4, elle, ses seins et mes yeux, nous nous arrêtâmes boire un verre! C'est ce moment la que choisis le stupide mari dont les corne dépassés de son  chapeau vert kaki et que l'horizon dépeignait comme l'homme du quartier des folles en furie.

Eh oui c'était mon bonhomme de mari cocu qui n'avait rien trouver de mieux que de me mette en garde l'avant veille au soir (voir même au matin glacial d'été ou de printemps cochés la réponse utile!) déguisé en tantouse et a qui la guêpière allait d'ailleurs très bien, soit dit en passant. Et moi, soit dit AU passant, l'amitié homme homme est une vacherie, je vous en conjure devenait gay ou ne venez pas!

 

 

 

 

Femme tu souhaitais hier au soir que l'on se quitte,

                                                                           ...on est quitte.

 

Poussière de notre amour

qui me poussait hier à ne plus t'aimer,

en écoutant -M- et le son de ta voix grave,

Voie de garage ou j'ai posé mon sarcophage.

Sarko rage à la télé,

tel est notre quotidien.

 

Nous sommes de toutes façons devant l'échec.

Et Tchèque et bulgare et Abares et Français.

Aujourd'hui être Franc c'est te dire adieu

, a dieu ce qui est a dieu, je n'aurais pas ma couronne de laurier...

Sans doute Laure y est pour quelque chose:

 

Moins monotone, sans sonotone.

Aujourd'hui à l'escalade, un mono tonne, une sono tonne.

Est-ce qu'Aladin était heureux? Nous ne le sauront.

Ce seau rond qui est dans le jardin je te le laisse,

Et je te laisse le chien et sa laisse, je ne veux plus rien...

 

Moins que rien abattu,

Je m'en vais dans le brouillard.

Je mens, c'est vrai, je n'ai jamais aimé.

Les Genet de notre amour scellé

N’était que le sel d'une belle amitié.

 

L'inventaire est vite fait,

Inventeur de belles idées

Je te les offres,

Jetez-les dans un coin de ma tête,

 

Un coin de mat figé

Sur mon crâne incliné

Ou le drapeau noir est déjà planté.

Ce drap de peau dans mes pensées

 

Est celui de l'échange de nos ébats intime,

Et bas et collant et culottes,

Collant à ma mémoire comme un déchu.

 

Des cheminées que je regardé au loin,

Prétexte de la pollution alors que

Tu pollues les sillons de mon âme,

 

La folie me ronge,

Le faux lit en songe...

De toi il est possible que je ne garde rien,

La voix aimable de ton gardien peut-être?

 

Petit être sans temps sinon.

Tension qui nous anéantissait,

La hantise de rater notre couple

Nous l'avons fait,

 

Comme des rats nous avons grignoté

Les restes de l'histoire.

 

Hisse le drapeau blanc,

Qu’on se le dise calmement,

Je ne mens pas,

Je viens de ce pas te l'annoncer,

Ah non! Te décréter que je m'en vais.

 

Je te copie comme une pie

Poète maudit

Des mots dits et

Des maux dits,

ton spleen a mis a mal ton idéal,

Il se pli et ne trésaille,

 

Je vais vers d'autres Paysage,

Aborder enfin des pays sages....

 

 

 

 

 

 

 

Ca y est,

 La douceur des caresse sont le devenir d'un soir, les questions se pose, la tete basse, les yeux dans le vague au retour d'un matin sans sommeil.

Beatitude parisienne des lendemain sans pareil, ou es-tu etre tendre aimé, couché dans un coin?

Beauté uniforme de ta voix cristalline et de ton corps frele... Une réponse? non, fausse route, juste une attente...

Un regard en biai qui se perd sur moi, celui ci est rapide, il s'en va aussi vite.

Accroche moi a ton pinceau, fait moi tournée, froler la toile, laisse moi deposer mes pas dans un grace sombre aux mille eclats. Cette dans continue je me cammoufle en vert en jaune en mauve dans un tourbillon de pastel.

Ca y est je change et je deviens cette bulle unique entre dix mille dans ta baignoire recouvert de cette mousse onctueuse et belle.

Je deviens vite ton parfum, je me depose dans ton cou, je rentre dans le nez de ton amant... de ton amant?

Je m'incarne en dieu tout puissant et je l'exclue de mes terre, tu deviendra ma bien aimée, je te serrerai contre moi.