Femme tu souhaitais hier au soir que l'on se quitte,
...on est quitte.
Poussière de notre amour
qui me poussait hier à ne plus t'aimer,
en écoutant -M- et le son de ta voix grave,
Voie de garage ou j'ai posé mon sarcophage.
Sarko rage à la télé,
tel est notre quotidien.
Nous sommes de toutes façons devant l'échec.
Et Tchèque et bulgare et Abares et Français.
Aujourd'hui être Franc c'est te dire adieu
, a dieu ce qui est a dieu, je n'aurais pas ma couronne de laurier...
Sans doute Laure y est pour quelque chose:
Moins monotone, sans sonotone.
Aujourd'hui à l'escalade, un mono tonne, une sono tonne.
Est-ce qu'Aladin était heureux? Nous ne le sauront.
Ce seau rond qui est dans le jardin je te le laisse,
Et je te laisse le chien et sa laisse, je ne veux plus rien...
Moins que rien abattu,
Je m'en vais dans le brouillard.
Je mens, c'est vrai, je n'ai jamais aimé.
Les Genet de notre amour scellé
N’était que le sel d'une belle amitié.
L'inventaire est vite fait,
Inventeur de belles idées
Je te les offres,
Jetez-les dans un coin de ma tête,
Un coin de mat figé
Sur mon crâne incliné
Ou le drapeau noir est déjà planté.
Ce drap de peau dans mes pensées
Est celui de l'échange de nos ébats intime,
Et bas et collant et culottes,
Collant à ma mémoire comme un déchu.
Des cheminées que je regardé au loin,
Prétexte de la pollution alors que
Tu pollues les sillons de mon âme,
La folie me ronge,
Le faux lit en songe...
De toi il est possible que je ne garde rien,
La voix aimable de ton gardien peut-être?
Petit être sans temps sinon.
Tension qui nous anéantissait,
La hantise de rater notre couple
Nous l'avons fait,
Comme des rats nous avons grignoté
Les restes de l'histoire.
Hisse le drapeau blanc,
Qu’on se le dise calmement,
Je ne mens pas,
Je viens de ce pas te l'annoncer,
Ah non! Te décréter que je m'en vais.
Je te copie comme une pie
Poète maudit
Des mots dits et
Des maux dits,
ton spleen a mis a mal ton idéal,
Il se pli et ne trésaille,
Je vais vers d'autres Paysage,
Aborder enfin des pays sages....