Je vais parler d'un livre. C’est relié, agrafé, la couverture est plastifié de ce vernis collant si pénible quand tes mains, moite d'un suspens insoutenable veulent refermer ce chef d'œuvre (...) elles restent scotché comme un attrape mouche (Cf.: le piège ci-dessus) c’est donc un livre. J’ai fini ce roman (…) en une nuit avec cette légère contrainte et la peur d’arriver le lendemain au bureau avec cette chose collé aux doigts. Au moins avec ce livre on dort bien je ne dis pas, mais est-ce sérieux de vendre ce dêch… ce bouquin en librairie ? C’est une bonne question…
Ma réponse est : on ne sait jamais. Cela à sans doute été la phrase de son éditeur, car pour produire ce genre de chose, excusez moi (ou ne m’excusez pas mais dépêchez vous quand même) il faut avoir des avocats solide, de l’argent à balancer par les fenêtres ou un chien aveugle, cocher la réponse inutile…
« Ce roman est a la littérature ce que le docteur Delajoux est a Johnny c'est-à-dire : son cancer colorectal » me disais le vendeur de la Fnac qui est autant médecin que moi je suis critique. Je lui ai donc demandé si en le lisant on en chiait et l’éminent docteur m’a répondu : « on ne sait jamais » avec ce petit sourire malicieux qu’ont les femmes au sortir du lit quand leur mari leur demande : « c’était bien ? »
NON CE N’ETAIT PAS BIEN ! Déjà le livre a du mal a ce mettre en route et les personnages ne se coordonne pas correctement
« Oswind : C’est possible
Cadfael : Cela n’a rien d’impossible »
On est d’accord : ils sont d’accord. Mais moi je ne suis pas d’accord que ces deux boulets aux noms de gueux viennent nous gâcher la page 20 alors qu’ils disent tous les deux la même chose !
Heureusement ce texte traite un sujet inédit : Des histoires de moines et de femmes au Moyen Age ! Vous me parlez d’inédit : je vous parle d’un croisé de Ken follet, Dan Brown et autre roman a succès (…)
Les histoires de femme il y en a de bonnes, et les histoires de moine aussi mais les histoires de Moyen Age… Le traducteur est génial, il devrait peut être bosser pour Raffarin , grand auteur français qui nous disais « Win the yes need the no to win against the no “ bref le traducteur nous invente un discours moderne alors que l’auteur le voulais assez ancien pour être crédible : un élève de 5ème aurais pu faire la même chose quoi que… je dit quoi que parque je sous estime le travail du traducteur qui dois non seulement traduire mais aussi inverser les mots car comme tous le monde le sais dans la langue de Shakespeare les mots sont toujours inversé !
Je suis page 48 et que vois-je ? « J’étais sur qu’on aurait besoin de nous avant longtemps » le français moyen aurais dit « moi aussi j’en étais sur ». Alors que moi je cris et j’incrimine tout de suite la correctrice – le traducteur est déjà mort- et je lui demande : Est-ce que je me trompe pas ou que tu n’aurais laissé que passer cette phrase ? » La réponse est non !
Comme vous l’aurez remarqué je ne vous ai presque pas parlé du livre, en effet c’était a chié tout comme Humilis et Fidelis les deux moine principaux – Il y en a d’autre mais leur noms sont moins tordant- donc humilis et Fidelis qui en plein Moyen Age vont défoncer un méchant seigneur qui veux se marier avec l’ex futur femme de frère Humilis qu’il a laissé tomber pour épouser le très haut et bien placé, Donc en bref une histoire de Moyen Age, de femme (yen a des bonnes) et de moines se prénommant risiblement,
« Humilis Et Fidelis, AMEN »
Commentaires
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J'aime bien Humilys comme prénom de fleur